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Tous chez l’orthophoniste ? – Podcast France Culture

Françoise Garcia, conseillère technique de la FNO, était invitée à l’émission  » Être et savoir  » (anciennement intitulée  » Rue des écoles « ) sur France Culture,  diffusée le 29 septembre 2019 de 17h00 à 18h00.

Le plateau intitulé « Tous chez l’orthophoniste ? » étaita constitué des invités suivants :

  • Françoise Garcia, conseillère technique – Promotion de la santé – Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO)
  • Catherine Billard, neuropédiatre et fondatrice de Paris Santé Réussite
  • Adrien Martinez, enseignant en Gironde, syndicaliste membre du SNUIPP-FSU

Cliquez ici pour accéder au podcast de l’émission.

Le Ministère de l’Enseignement Supérieur ne reconnait pas les Sciences Orthophoniques

Les orthophonistes et les étudiant·e·s en orthophonie dénoncent
un traitement inégal dans la création des sections CNU

Le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) a décidé unilatéralement de créer la section 91 intitulée « Sciences de la rééducation/réadaptation » au sein de la liste CNU, proposant ainsi de regrouper les orthophonistes avec les autres rééducateurs.

Dans le même temps, deux autres nouvelles sections ont vu le jour : la section 90 en Maïeutique et de la section 92 en Sciences Infirmières.

Les orthophonistes et les étudiant·e·s en orthophonie saluent la création de ces sections qui amènent une juste reconnaissance de la recherche spécifique dans ces deux disciplines. Mais il·elle·s ne comprennent pas pourquoi il leur est refusé la reconnaissance d’une discipline spécifique à leur filière.

La Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO), le Collège Français d’Orthophonie (CFO), la Fédération Nationale des Étudiants en Orthophonie (FNEO) et l’Union Nationale pour le Développement de la Recherche et de l’Evaluation en Orthophonie (UNADREO), ont toujours défendu la création d’une section en Sciences Orthophoniques, mais le MESRI n’a pas tenu compte des éléments tangibles apportés par les différentes instances de la profession en réponse au rapport Le Bouler.

La section 91 Sciences de la rééducation/réadaptation regroupe artificiellement des disciplines dont les enjeux de recherche et la spécificité scientifique sont différents. Les Sciences Orthophoniques doivent pouvoir bénéficier d’une reconnaissance des travaux et des modèles dont les orthophonistes ont besoin.

Cela est indispensable pour conforter une recherche spécifique nécessaire à leur discipline, et ainsi concourir à la juste qualité de l’évolution de la profession et de la formation initiale, tant en France qu’à l’international. Il en va, à terme, de la qualité des soins apportés aux personnes présentant des troubles de la communication, de la parole, du langage, de la cognition mathématique, des fonctions oro-myofaciales et de la voix.

La Fédération Nationale des Orthophonistes, le Collège Français d’Orthophonie (CFO), la Fédération Nationale des Etudiants en Orthophonie (FNEO) et l’Union Nationale pour le Développement de la Recherche et de l’Evaluation en Orthophonie (UNADREO) demandent au Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation d’aller jusqu’au bout de la création d’une section « Sciences Orthophoniques ».

Réforme des retraites : La FFPS porte ses revendications auprès du Gouvernement

Réforme des retraites : La FFPS* porte
ses revendications auprès du Gouvernement

 

Une délégation de toutes les professions représentées au sein de la Fédération Française des Praticiens de Santé (FFPS), a été reçue ce jeudi 12 septembre, par Jean Paul Delevoye, Haut- Commissaire aux Retraites, nouveau Ministre délégué auprès de la Ministre des Solidarités et de la Santé.

La FFPS a défendu les revendications des praticiens de santé auprès du Ministre.

Jean-Paul Delevoye a reconnu les spécificités de ces professionnels et a assuré qu’il en tiendra compte dans la réforme.

La FFPS a rappelé les points durs sur lesquels elle ne cèdera pas :

  • Une compensation totale des hausses de cotisations
  • Le maintien des prestations actuelles et futures
  • Le maintien de l’assiette actuelle de calcul des cotisations Retraite : un calcul sur les revenus
    déclarés et les éventuelles cotisations Madelin
  • La distribution des réserves de la CARPIMKO au profit des affiliés de la CARPIMKO
  • Une augmentation de la prise en charge de la partie forfaitaire des cotisations Retraite de l’Avantage Social Vieillesse (ASV) par l’Assurance Maladie

Pour répondre aux exigences de la FFPS, le Ministre a réaffirmé que la réforme ne bouleversera pas l’équilibre économique des cabinets.

Conformément aux déclarations du Premier Ministre, ce jour, des réunions de négociations entre la FFPS et le Haut-Commissariat à la Réforme des Retraites (HCRR) débuteront dès le début de la semaine prochaine dans un calendrier resserré.

La FFPS restera intransigeante sur une compensation totale des hausses de cotisations pour tous les praticiens de santé.

*Créée en août 2017, la FFPS se compose des principaux syndicats d’infirmiers libéraux, de masseurskinésithérapeutes, d’orthophonistes, d’orthoptistes et de pédicures-podologues, à savoir : Convergence infirmière, la FFMKR, la FNI, la FNO, la FNP, l’ONSIL, l’UNSMKL, le SNAO et le SNIIL.

Réforme des retraites : la FFPS soutient la motion de l’UNAPL

Réforme des retraites : La Fédération Française des Praticiens de Santé (FFPS*) soutient la motion portée par l’Union Nationale des Professions Libérales (UNAPL)

Un Conseil National extraordinaire de l’UNAPL s’est tenu le 4 septembre à Paris. La FFPS a participé à cette réunion pour porter la voix des praticiens de santé qui risquent d’être extrêmement impactés par cette réforme.

La FFPS comprend la forte inquiétude des praticiens de santé libéraux, elle privilégie cependant la voie du dialogue et de la négociation et en conséquence ne se joindra pas au mouvement du 16 septembre.

La FFPS demande instamment au gouvernement qu’il lui soumette un calendrier de négociations et des projections claires sur les scenarii qui se dessinent au travers du rapport du Haut -Commissaire à la Réforme des Retraites.

La FFPS apporte son soutien à la motion élaborée conjointement lors du Conseil National et qui sera portée par Michel Picon, Président de l’UNAPL, lors de son entretien avec le Premier Ministre Édouard Philippe, la Ministre de la santé Agnès Buzyn et Jean-Paul Delevoye, Haut-Commissaire à la Réforme des Retraites, programmé le 06 septembre.

La FFPS rappelle qu’elle se ralliera à un mot d’ordre de mobilisation massive des professions libérales si les spécificités des praticiens de santé conventionnés ne sont pas prises en compte dans la réforme.

*Créée en août 2017, la FFPS se compose des principaux syndicats d’infirmiers libéraux, de masseurskinésithérapeutes, d’orthophonistes, d’orthoptistes et de pédicures-podologues, à savoir : Convergence infirmière, la FFMKR, la FNI, la FNO, la FNP, l’ONSIL, l’UNSMKL, le SNAO et le SNIIL.

Réforme des retraites : communiqué de presse

Réforme des retraites : les spécificités des orthophonistes libéraux doivent être prises en compte

La FNO rappelle au HCRR que les spécificités des orthophonistes, et de l’ensemble des praticiens de santé conventionnés, doivent être prises en compte dans la réforme des retraites. Sans cela, la réforme anéantirait ces mêmes professionnels et mettrait à mal une partie du système de soins.

La Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO) défend, avec les autres organisations membres de la Fédération Française des Professions de Santé (FFPS), une compensation totale de l’augmentation envisagée des cotisations. Cette demande spécifique fait pour l’instant l’objet de négociations en cours avec le Haut-Commissariat à la Réforme des Retraites (HCRR).

Dans ce contexte de dialogue social encore engagé avec les représentants du HCRR, le conseil d’administration de la FNO a choisi de ne pas s’associer à la manifestation du 16 septembre initiée par les membres du barreau.

En effet, la FNO travaille activement, au sein de la FFPS, et ce depuis de longs mois, à défendre les intérêts des orthophonistes auprès de Jean-Paul Delevoye et de son équipe, en montrant combien une brusque augmentation des cotisations sans compensation rendrait difficile le maintien d’un exercice libéral de l’orthophonie. Dans un contexte où l’exercice salarié de l’orthophonie est également en difficulté, la FNO considère ce dossier comme majeur.

La FNO attend donc des propositions concrètes du HCRR permettant d’assurer la survie des cabinets libéraux des orthophonistes.

La FNO demande à ce que, si elle est maintenue, la hausse des cotisations pour les orthophonistes libéraux soit intégralement compensée par :

  • Une augmentation de la prise en charge de la partie forfaitaire des cotisations Retraite de l’Avantage Social Vieillesse (ASV) par l’Assurance Maladie.
  • Un changement d’affectation d’une part de la CSG vers la cotisation retraite.
  • Le maintien de l’assiette actuelle de calcul des cotisations Retraite : un calcul sur les revenus déclarés et les éventuelles cotisations Madelin.
  • L’augmentation des revenus des orthophonistes.

La FNO demande également :

  • Le maintien des prestations actuelles et futures
  • La pérennisation du financement du fonds d’action sociale qui permet de verser des aides aux affilié.e.s de la CARPIMKO[1] traversant une période difficile.
  • La distribution des réserves de la CARPIMKO au profit des affilié.e.s de la CARPIMKO.

Dans le cas où ces revendications ne seraient pas acceptées par ses interlocuteurs, la FNO n’hésitera pas à appeler à la manifestation.

[1] CARPIMKO : Caisse autonome de retraite et de prévoyance des infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues, orthophonistes et orthoptistes

 

Les orthophonistes veulent une section de CNU en sciences orthophoniques

Après examen des récentes propositions concernant le Conseil National des Universités (CNU) pour les disciplines de santé, nous réaffirmons notre volonté de voir créer une section du CNU en Sciences Orthophoniques, à l’instar des CNU Maïeutique et Sciences Infirmières.

Depuis de nombreuses années, les acteurs de l’orthophonie ont largement contribué à l’universitarisation de la formation initiale des praticiens de santé. La génération de nouveaux enseignants-chercheurs, et notamment des orthophonistes devenus docteur·e·s et dûment qualifié·e·s, doit pouvoir être encouragée et développée. Il est en effet crucial de pouvoir assurer le suivi et le renouvellement des encadrements des étudiant ·e·s et des praticiens-chercheur·e·s s’intéressant au langage, à la communication et aux fonctions oromyofaciales pathologiques.

Les orthophonistes sont des praticiens de santé titulaires d’un diplôme de grade master, comprenant une formation à la recherche par la recherche de haut niveau. L’ouverture vers un parcours doctoral dédié aux Sciences Orthophoniques, ainsi qu’une possibilité de qualification spécifique doit permettre l’enrichissement et la juste reconnaissance de la contribution effective des enseignants-chercheurs du domaine à la communauté scientifique.

Les Sciences Orthophoniques couvrent actuellement des domaines dépassant largement l’activité de rééducation /réadaptation, et émanent tant des sciences biomédicales que des sciences humaines et sociales.

La Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO), la Fédération Nationale des Étudiants en Orthophonie (FNEO), l’Union Nationale pour la Recherche et l’Évaluation en Orthophonie (UNADREO) et le Collège Français d’Orthophonie (CFO) affirment à nouveau leur volonté de participer aux décisions pour la création d’un CNU concernant les Sciences Orthophoniques.

Réforme des retraites : la FFPS en état d’alerte

Réforme des retraites : la Fédération Française des Praticiens de Santé (FFPS)*
en état d’alerte après la présentation des préconisations du HCRR

Si la proposition que le Haut-commissaire à la réforme des retraites (HCRR) a dévoilée le jeudi 18 juillet, en vue d’élaborer le futur système de réforme universel, se veut plus juste et plus équitable, la FFPS craint que ce principe louable ne s’applique pas aux Praticiens de santé qui risquent d’être pénalisées.

Le HCRR préconise un système de cotisation pour les professions indépendantes, dont les Praticiens de santé, qui serait de 28,12% jusqu’à 40 000 €, puis de 12,94% de 40 000 à 120 000 €. L’assiette de cette cotisation sera le revenu brut d’activité. De plus, sera incluse dans cette cotisation de solidarité « déplafonnée » non créatrice de droit, une cotisation de 2,81% due sur la totalité des revenus perçus.

Autrement dit, et même si ces mesures rentrent en application de façon très progressive sur plusieurs années, cela signifie que le niveau de cotisation des Praticiens de santé va très significativement augmenter sans pour autant s’accompagner d’un accroissement des droits.

La promesse d’une compensation via une baisse de la CSG parait difficilement crédible car celle-ci n’est pas cotisée sur la même assiette, ce qui ne couvrirait que très partiellement les sommes déboursées par les Praticiens de santé. La FFPS se battra pour que cette compensation couvre l’augmentation des cotisations.

Pour la FFPS, il est totalement inacceptable, au moment où l’assurance maladie prépare de nouvelles mesures de maîtrise des dépenses de santé, que les Praticiens de santé subissent une hausse de leurs charges sociales par le biais de l’augmentation des cotisations de retraite. Les Praticiens de santé ne sont pas à la veille d’accepter qu’on leur fasse payer plus pour moins de droits.

La disparition programmée des caisses de retraite des professions constitue une source d’inquiétude pour la FFPS qui redoute une nouvelle étape dans l’étatisation, après celui de l’organisation territoriale et de la formation continue.

Le point positif qu’entrevoit toutefois la FFPS réside dans les mesures envisagées en direction des femmes afin que celles-ci ne soient pas pénalisées par leurs interruptions d’activité professionnelle pour la maternité. C’est le complément indispensable de l’instauration du congé maternité de tous les Praticiens de santé.

A présent, une nouvelle phase de concertation va s’ouvrir et la FFPS reprendra contact avec le HCRR afin d’obtenir la prise en compte de la situation spécifique des Praticiens de santé qui ne pourront pas soutenir économiquement une augmentation du niveau des cotisations aussi conséquente. La FFPS, qui ne lâche rien, n’acceptera pas un système susceptible de précariser ses mandants.

*Créée en août 2017, la FFPS se compose des principaux syndicats d’infirmiers libéraux, de masseurskinésithérapeutes, d’orthophonistes, d’orthoptistes et de pédicures-podologues, à savoir : Convergence infirmière, la FFMKR, la FNI, la FNO, la FNP, l’ONSIL, l’UNSMKL, le SNAO et le SNIIL.

 

Les orthophonistes font entendre leur voix aux élections au CA de la Carpimko

Élections au conseil d’administration de la CARPIMKO :
les orthophonistes ont fait entendre leur voix !

Ce samedi 6 juillet 2019, a eu lieu le dépouillement du vote pour le conseil d’administration de la CARPIMKO.
Les orthophonistes se sont mobilisés massivement : le taux de participation est de 43,5% (contre 32,4% en 2016).

Pour le collège des cotisants, la liste présentée par la Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO) a obtenu 89,1 % des voix exprimées : Sylvie Arpin et Bruno Sarrodet sont respectivement élus titulaire et suppléant.

Pour le collège des retraités, la liste interprofessionnelle soutenue par la FNO avec Convergence Infirmière, la FFMKR, la FNI, la FNP, l’ONSIL, le SNAO, le SNIIL et l’UNSMKL, a obtenu 77,4% des voix exprimées : Martine Grand, orthoptiste, et Nicole Tchernia, orthophoniste, sont élues respectivement titulaire et suppléante.

La FNO remercie les orthophonistes qui lui ont fait confiance en votant pour la liste présentée par la FNO.

Les élu·e·s défendront et soutiendront les valeurs portées par la FNO :

  • le principe d’équité et de solidarité
  • le maintien de notre Régime invalidité décès (RID) et de la spécificité de notre action sociale (pour les actifs, les retraités et les bénéficiaires du RID)
  • le maintien de la gouvernance spécifique aux praticiens de santé
  • le renforcement de l’Avantage social vieillesse (ASV) dont les deux tiers sont financés par l’Assurance maladie pour compenser l’augmentation des cotisations
  • l’utilisation des réserves pour les praticiens de santé

La FNO, forte du soutien de la profession, est d’autant plus légitime à défendre la position tenue aux côtés des autres praticiens de santé : la réforme ne sera possible que si les revenus des professionnels, si la part d’ASV assumée par l’Assurance maladie sont augmentés en conséquence. Sans ce préalable, les représentants des praticiens de santé refuseront une réforme qui mettrait en péril tous les cabinets des professions dites encore « paramédicales ».

 

Marie-Anne François réélue présidente de la Carpimko

Élections du bureau de la CARPIMKO : Marie-Anne François, orthophoniste, réélue pour un 3ème mandat

 

Le nouveau Conseil d’administration de la CARPIMKO*, réuni le jeudi 25 juillet 2019, a élu les membres de son bureau et des différentes commissions.

Marie-Anne FRANÇOIS, orthophoniste, représentante de la Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO), a été réélue présidente de la CARPIMKO pour un troisième mandat.

Elle est également vice-présidente de la CNAVPL**.

Composition du Bureau :

  • Présidente : Marie-Anne François, FNO
  • Vice présidente : Corinne Friche, masseur-kinésithérapeute, FFMKR
  • Vice présidente déléguée : Maria Plaza, orthoptiste, SNAO
  • Secrétaire général : Corinne Bourseaud, infirmière, FNI
  • Trésorier : Thomas Lestrade, pédicure-podologue, FNP.

La FNO félicite la présidente ainsi que tous les membres du bureau de la CARPIMKO.
La FNO, par ses représentant.e.s titulaires et suppléant.e.s, Marie-Anne François, Sylvie Arpin, Patricia Navarro et Bruno Sarrodet,  travaillera conjointement avec toutes les fédérations de praticiens de santé, dans un contexte de réforme qui soulève de nombreuses inquiétudes quant au financement des futures retraites.

*CARPIMKO : Caisse autonome de retraite et de prévoyance des infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues, orthophonistes et orthoptistes
** CNAVPL : Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales

La FNO élit un nouveau bureau fédéral

La Fédération Nationale des Orthophonistes élit un nouveau bureau fédéral

Le Conseil d’administration de la Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO), lors de son XXVIIIème Congrès fédéral qui se déroule à Bordeaux du 6 au 8 juin 2019, a adopté son Texte d’orientations pour le mandat 2019-2022 et élu le bureau fédéral chargé de le mettre en œuvre.

Un nouveau bureau fédéral de la FNO

Les orthophonistes élus pour le mandat 2019-2022 sont :

  • Anne DEHÊTRE (Pays de la Loire) : présidente
  • Séverine CAVAGNAC-WURTZ (Alsace) : secrétaire générale
  • Alice PERDEREAU (Rhône-Alpes) : secrétaire générale adjointe
  • Fabienne VANNIER (Normandie) : trésorière
  • Christophe RIVES (Midi-Pyrénées) : vice-président chargé de l’exercice libéral et de l’interprofessionnalité
  • Emily BENCHIMOL (Île de France) : vice-présidente chargée de la coordination avec les régions
  • Marie TABAUD (Île de France) : vice-présidente chargée de la promotion de la santé
  • Mélanie ENGELHARDT (Aquitaine) : vice-présidente chargée de l’exercice salarié
  • Cécile PETIT (Midi-Pyrénées) : vice-présidente chargée de la formation continue
  • Gaëlle LANCELLE-CHOLLIER (Rhône-Alpes) : vice-présidente chargée de l’accès à la vie professionnelle
  • Frédérique BRIN-HENRY (Lorraine) : vice-présidente chargée de l’identité professionnelle et de la recherche
  • Sophie TRICOT (Rhône-Alpes) : vice-présidente chargée de la communication et du développement de projets

Un nouveau Texte d’orientations

Le Texte d’orientations a pour objet de consolider les avancées majeures qu’a obtenu la FNO ces dernières années, pour l’orthophonie et les orthophonistes, en s’appuyant sur deux axes principaux :

  • l’orthophoniste est un professionnel de santé ayant un haut degré d’autonomie professionnelle ; il doit continuer à être une ressource de première intention pour les usagers.
  • l’affirmation des compétences et l’autonomisation des orthophonistes doivent leur permettre d’exercer leur métier pleinement, dans un contexte de poursuite de la transformation du système de santé et d’évolution du système de protection sociale.

La FNO agira pour affirmer le rôle de l’orthophoniste, en protégeant son exercice professionnel :

  • en garantissant la qualité des soins apportés
  • en protégeant les conditions d’exercice des professionnels salariés et libéraux
  • en agissant pour la prise en compte des spécificités d’exercice des orthophonistes, dans les réformes en cours et à venir, notamment celle de la retraite
  • en réaffirmant la place de l’orthophoniste dans l’organisation des soins.