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Interview d’Hélène Sagne sur France Bleu

Hélène Sagne, présidente du Syndicat des Orthophonistes de la Région Centre-Val de Loire était l’invitée de France Bleu Orléans dans le cadre de l’émission « La vie en bleu » le 25 janvier.

Elle intervenait dans le cadre du dossier du jour intitulé « L’orthophonie et la dyslexie« .

Hélène Sagne était invitée dans le cadre de la première semaine de l’orthophonie, organisée par la FNO du 21 au 27 janvier et consacrée à la sensibilisation sur la dyslexie.

L’intégralité de l’émission est disponible ici en podcast.

Au micro d’Eva Milot et de Bruno Berthier, Hélène Sagne (orthophoniste dans le Loir-et-Cher) a rappelé que la dyslexie, qui selon la HAS concerne 4,7 millions de personnes en France, représentait « un vrai problème de santé publique« . La semaine de sensibilisation organisée par la FNO veut « répondre aux idées reçues sur la dyslexie, vraie ou fausse épidémie« , ce qui était notamment l’objet du colloque organisé le 21 janvier au ministère de la Santé. « Les chiffres [de la dyslexie] sont stables » a rappelé Hélène Sagne. La dyslexie est généralement dépistée chez l’enfant « au moment de l’apprentissage de la lecture« , mais les difficultés liées durent « tout au long de la vie ».

La dyslexie est « avant tout un problème de déchiffrage« . Un enfant dyslexique « comprend mieux qu’il ne peut déchiffrer« . Ce problème de décodage « va durer toute la vie« . Des signes d’alerte en maternelle peuvent évoquer « des prédispositions à la dyslexie » mais le diagnostic n’est posé, par un orthophoniste qu’après une année d’apprentissage de la lecture en CE1. La dyslexie est un trouble neuro-developpemental, elle fait partie des « troubles de l’apprentissage dans le DSM-5« . Il s’agit d’un trouble « qui n’est pas contagieux » mais pour lequel on retrouve « un facteur génétique« . Il est primordial de la « dépister tôt et de l’accompagner le plus tôt possible, en orthophonie lorsqu’il s’agit de la lecture« . La dyslexie peut être accompagnée d’autres troubles comme la dyspraxie, la gestion de l’écriture, a expliqué Hélène Sagne.

Hélène Sagne a ensuite rappelé le parcours de soins de l’enfant dyslexique. L’orthophoniste agit sur prescription médicale. Il est un professionnel de santé qui s’inscrit « dans un parcours coordonné de soins« . Les parents peuvent demander un bilan orthophonique pour savoir si leur enfant rencontre « des difficultés transitoires » et avoir un niveau de langage de leur enfant, car les difficultés à l’écrit peuvent être « un retentissement d’une difficulté à l’oral préalable« . Les dyslexiques sont « forcément dysorthographique » précise Hélène Sagne, « lire seul est difficile, et à vie« , « écrire seul, sous la dictée est forcément très difficile« . Les enfants dyslexiques sont souvent en échec scolaire ce qui peut avoir une incidence sur l’estime de soi.

Hélène Sagne a expliqué en quoi consiste l’intervention orthophonique auprès de ces enfants : « l’objectif de l’orthophoniste est de mettre en place des moyens de compensation« , pour cela plusieurs techniques sont à sa disposition selon l’enfant, pour qu’il trouve « ses moyens à lui pour dépasser ses difficultés qu’il gardera« . L’objectif étant qu’il devienne « le plus autonome possible« . L’orthophoniste travaille la mise en place d’outils numériques, par exemple avec les collégiens et les lycéens. Ces aides doivent rendre l’enfant « le plus autonome possible« . Il n’y a pas de médicaments contre la dyslexie, mais que « des palliatifs« , des outils adaptés à l’enfant et « différents d’un enfant à l’autre » pour aider son insertion professionnelle notamment.

Dans le milieu scolaire, « la prévention est primordiale« . L’enseignant est souvent la première personne à repérer les difficultés de lecture en CP. Hélène Sagne a rappelé l’existence du site FNO Prévention, outil de prévention sur les troubles du langage oral et écrit à destination des parents et des professionnels intervenant auprès des enfants. Il donne des signes d’alerte, pour ne pas « envoyer trop tôt l’enfant chez l’orthophoniste non plus » sans toutefois négliger ce dépistage qui doit être le plus précoce possible. Dans la dernière partie de l’émission, Hélène Sagne a détaillé le contenu du site. Une vidéo détaille notamment ce qu’est le bilan orthophonique et comment les parents peuvent le demander.  Sur la question des délais d’accès à un orthophoniste, Hélène Sagne a rappelé que la région Centre – Val de Loire était très touchée par la « désertification médicale et paramédicale » qui se traduit chez les orthophonistes par des listes d’attente de « un an à un an et demi ou 2 ans« , ce qui est « intenable pour les parents« . Elle a rappelé que la profession demandait des solutions, et qu’en mai 2018, la FNO avait envoyé à la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, 20 propositions pour répondre au problème de l’accès aux soins en orthophonie, « sans réponse à ce jour« .

« Nous avons aussi besoin que les parents se mobilisent et écrivent à l’ARS ou au ministère » pour faire connaitre les demandes de soins qui ne sont pas pourvues, a conclu Hélène Sagne, cela permettra « d’améliorer la situation démographique et d’avoir plus de professionnels sur le terrain. C’est un vrai problème de santé publique. »

Plus d’informations sur la campagne nationale de communication de la FNO sur le langage écrit en cliquant ici.

Statut des orthophonistes salariés : décryptage de la situation

Le dossier du statut des orthophonistes salariés est une des priorités de la FNO dans le cadre de l’accès aux soins.
Le gouvernement actuel ne veut rien entendre à ce sujet. Pour la ministre de la Santé, l’évolution des salaires de la FPH (au niveau de professions bac+3 !) est suffisante, aucune perspective n’est donnée.
Les représentants de la FNO continuent de rencontrer des élus. De nombreux parlementaires ont posé des questions à l’Assemblée Nationale.
La “classe supérieure est une possibilité ouverte aux orthophonistes titulaires de la fonction publique hospitalière d’accéder à une rémunération un peu supérieure à celle de la “classe normale” (maximum 120 euros brut par mois).  Il ne s’agit bien que des titulaires, et donc les orthophonistes contractuels (en CDI ou CDD, la majorité aujourd’hui) n’y ont pas accès de toute manière.

Il y a des conditions d’ancienneté et surtout un quota à respecter : ce quota représente le maximum d’orthophonistes qui peuvent passer en classe supérieure par établissement.
Ce quota était encore de 40 % en 2012… Marisol Touraine avait ensuite réduit ce quota jusqu’à 15 %, et Agnès Buzyn vient de le réduire à 11 % : toujours sans aucune information préalable, sans aucune concertation, sans aucune explication, sans aucune information non plus si ce n’est la parution au Journal Officiel.

Agnès Buzyn utilise pourtant toujours les salaires qui figurent dans cette “classe supérieure” lors de ses discours, alors que cela ne représente donc que 11 % de  moins de la moitié des orthophonistes des établissements publics…

Une question orale avait été posée en avril par la députée Sophie Auconie (UDI, Indre-et-Loire). Elle faisait remarquer l’écart de rémunération criant entre les orthophonistes et les autres professions diplômées à BAC+5 dans la FPH.
Pour en savoir plus :
Il y a un an, en plein été, sortait le décret n° 2017-1263 du 9 août 2017 relatif au classement indiciaire applicable aux corps de personnels de rééducation de la catégorie A de la fonction publique hospitalière, annonçant une revalorisation honteuse des orthophonistes, avec un passage uniquement à un niveau bac +3 malgré 5 années d’études reconnues au grade de Master.

Cet été, les premiers orthophonistes diplômés au grade master sont sortis, et comme tous les orthophonistes, ils seront sous-payés, désertant les postes salariés à un point qui en devient critique. Aux plus de 150 questions, écrites et orales, posées par les parlementaires, Agnes Buzyn répond avec une méconnaissance qui pourrait passer pour de la mauvaise foi déjà présente chez sa prédécesseur… Mais que veulent vraiment dire ces chiffres, qu’elle affiche comme une réponse et qui pourraient convaincre les moins informés ?

Bruno Sarrodet, en charge de l’exercice salarié à la FNO, répond point par point à la ministre dans cette courte vidéo.

Article publié le 10 octobre 2018
Si vous avez des questions, des remarques ou des suggestions, écrivez nous à contact@fno.fr

Pourquoi participer à l’universitarisation ?

Formation universitaire en orthophonie : à quoi bon contribuer à une réflexion sur l’universitarisation ?

 

Le gouvernement actuel mène, sous l’égide de Monsieur Stéphane Le Bouler, une série de travaux concernant l’universitarisation des filières de formation dites paramédicales et de maïeutique.
Depuis son origine, la formation initiale en orthophonie est intégrée aux universités.
Elle est dispensée au sein de départements universitaires, en grande majorité intégrés aux UFR de Médecine ou de Santé. Vingt universités sont accréditées pour dispenser un cursus qui octroie, depuis 2013(Décret n° 2013-798), 300 ECTS. Les études comptent dix semestres et se composent de deux cycles validant respectivement 180 (niveau licence) puis 120 ECTS (niveau master).

Le niveau grade master 2 obtenu par les étudiants diplômés leur permet une inscription possible en cursus doctoral (Arrêté du 25 mai 2016, article 11).

L’orthophonie, intégrée à l’université depuis son origine, n’est donc a priori pas concernée par les travaux sur l’universitarisation. Cependant, l’ensemble des acteurs de l’orthophonie française a, jusqu’à présent, montré une réelle volonté pour contribuer aux travaux conduits dans le cadre de la mission confiée à Monsieur Le Bouler.
Cet engagement s’est traduit par plusieurs points significatifs :
– Le partage du savoir-faire universitaire en matière de mutualisation des enseignements avec les filières de sciences humaines et les filières de santé, démontrant la capacité d’adaptation de la filière orthophonie aux différents contextes universitaires
– Une contribution significative aux travaux sur la modernisation des conditions d’admission, aboutissant à la proposition d’un nouveau modèle (dossier et entretiens), fonctionnel, répondant au cadrage de la loi ORE et donc compatible avec la procédure Parcousup
– Des demandes répétées de contribution à la réflexion sur la création des nouveaux Conseils Nationaux Universitaires (CNU) censés accueillir l’ensemble des étudiants issus des filières paramédicales.

L’ensemble des acteurs de l’orthophonie constate que ces contributions n’ont aucune incidence sur les travaux menés puisque :
– L’orthophonie n’est pas prise en compte dans la transmission de son expérience à décliner un modèle de maquette nationale dans différents contextes universitaires
– L’orthophonie subit une méconnaissance de son champ d’application qui ne peut être réduit à un métier de la réadaptation, la majorité des actes d’orthophonie étant effectuée auprès d’enfants ne relevant pas de ce champ (ex. troubles neurodéveloppementaux, troubles des apprentissages …). La part dans la formation des enseignements en médecine de réadaptation et de rééducation est d’ailleurs très largement minoritaire au regard des autres enseignements médicaux de la discipline (ORL, psychiatrie, neurologie…)
– L’orthophonie a été écartée des travaux concernant la création des CNU, alors que l’orthophonie est une filière qui dispose actuellement d’un vivier réel d’enseignants chercheurs titulaires, et de docteurs potentiellement qualifiables
– Certains modèles envisagés de modification des études négligent ostensiblement ce qui fait l’attractivité et la typicité des études en orthophonie c’est-à-dire un niveau socle exigeant de formation en sciences humaines. Rappelons que la réingénierie des études en orthophonie date de
2013.
Les acteurs de l’orthophonie réaffirment leur soutien à l’universitarisation des filières qui sont extérieures à l’université. Cependant ils affirment que les filières déjà intégrées, non entendues et qui ont pourtant, depuis toujours, assumé la mise en œuvre des cursus, ne doivent pas être des variables
d’ajustement dans un contexte de massification de l’entrée à l’université.

Dans ce contexte de stérilité, l’ensemble des acteurs de l’orthophonie française :
– Rappelle que leurs travaux ont permis l’établissement d’un modèle d’admission compatible avec les
engagements qu’ils ont pris au début du processus collaboratif,
– Affirme que l’orthophonie ne peut pas intégrer un regroupement dit de « réadaptation » qui ne
correspond ni à son référentiel de compétences ni à son champ d’activité dans le domaine de la
santé,
– Attire l’attention des équipes ministérielles sur le fait qu’un modèle qui semble adapté à une université ne le sera pas pour la majorité des universités qui utilisent des modèles différents et pour autant tout à fait opérationnels,
– Regrette que les travaux sur les CNU n’aient pas intégré des propositions issues des acteurs universitaires de l’orthophonie,
– Souhaite que soit créé un CNU, autre que celui « réadaptation et rééducation », accueillant les enseignants-chercheurs titulaires actuels mais aussi permettant surtout aux étudiants diplômés de déployer une recherche permettant l’amélioration du diagnostic et du soin en orthophonie,
– Se questionne sur l’intérêt de la poursuite de leur contribution aux travaux en cours.

Communiqué de presse

Migrer et exister : communiqué de presse d’ODM

Orthophonistes du Monde (ODM) choisit la date anniversaire de l’adoption par l’ONU de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (10 décembre 1948) publier un communiqué de presse relatif à la question migratoire.
En 2016, le comité permanent de liaison des orthophonistes-logopèdes de l’Union européenne (CPLOL) s’exprimait sur la question migratoire :
« Outre les besoins fondamentaux, ces populations en mouvement ont besoin de développer des compétences sur le plan de la communication afin d’optimiser leurs chances d’intégration dans des environnements et des contextes nouveaux (…). »
« En conclusion, le CPLOL, représentant des orthophonistes de l’Union Européenne, témoigne de son soutien envers tous les migrants dans cette crise humanitaire et est convaincu que les orthophonistes pourraient fournir, en partie, l’assistance professionnelle nécessaire dans une telle situation et contribuer à atténuer certains problèmes créés par des conditions difficiles et précaires pour les migrants comme pour les pays d’accueil. »
En 2018, Orthophonistes du Monde souhaite faire entendre sa voix en écho à ces déclarations.
Préoccupé par ces situations humaines de perte de repères sociétaux, culturels et linguistiques, de vécus traumatiques cisaillant violemment les psychismes, de tentatives effrénées d’intégration à corps et âmes perdus aux pays d’accueil encore frileusement accueillants, OdM soutient :
  • que tout être humain a le droit de circuler librement, dans une mobilité qui le conduit à la rencontre d’autres humains, d’autres cultures, d’autres langues ;
  • que de tous temps cette mobilité a accompagné la richesse de développement de l’humanité, la naissance de nouveaux codes, de nouvelles langues ;
  • que tout être humain a le droit de s’exprimer librement ; qu’en retour, de langue migrante à langue d’accueil, de langued’accueil à langue migrante, la communication reste au cœur des questions de rencontre interculturelle et d’intégration ;
  • que tous les êtres humains naissent LIBRES et EGAUX en DIGNITE et en DROITS (article 1 de la Déclaration Universelledes Droits de l’Homme).

Pour en savoir plus :

Ile de la Réunion : motion des syndicats de professionnels de santé

Les syndicats de professionnels de santé de l’Île de la Réunion et les URPS ont rédigé une motion suite à la situation particulièrement grave traversée actuellement par les professionnels de proximité.

 

Un rendez-vous le 28 novembre a été demandé par les syndicats et les URPS avec Annick Girardin, ministre des Outre-mer.

 

Cliquez ici pour lire la motion.

La FNO au congrès de la FOAF à Lomé

La FOAF, Fédération des organisations d’Orthophonistes d’Afrique Francophone, a organisé son 1er congrès scientifique international sur le thème « Les troubles spécifiques du langage et des apprentissages, enjeux et défis ».
Du 20 au 22 août à Lomé au Togo, des professionnels du monde entier se sont réunis.

 

Françoise Garcia pour la FNO, Sylvia Topouzkhanian pour l’Unadréo représentaient la France, en compagnie des représentantes d’Orthophonistes du Monde (ODM) et ont pu intervenir sur les Enjeux et défis du parcours de soins des enfants avec troubles spécifiques du langage et des apprentissages en France, à l’invitation d’Emmanuel Etongnon, président de la FOAF.
Cliquez ici pour en savoir plus sur la FOAF
Article publié le 1er septembre 2018
Si vous avez des questions, des remarques ou des suggestions, écrivez nous à contact@fno.fr

Adhérez à un syndicat régional de la FNO en 2024 !

Cliquez ici pour adhérer en ligne

Pourquoi adhérer à un syndicat régional de la FNO ?
Adhérer à un syndicat régional de la FNO c’est :

• Renforcer la représentativité de la FNO pour une solidarité professionnelle toujours plus grande ;
• Participer à l’évolution de la profession : en prenant part aux assemblées générales, congrès, débats et votes qui déterminent la politique de la fédération ;
• Recevoir une information vérifiée : les analyses de la FNO portent sur tous les thèmes professionnels ;
• Etre informé·e : actualité professionnelle et scientifique, programmes de formation continue, offres d’emploi.

Comment adhérer à un syndicat régional de la FNO ?
Chaque année, la FNO diffuse un bulletin d’adhésion à l’ensemble des orthophonistes dans le cadre de sa campagne d’adhésion. Pour adhérer, il suffit de le renvoyer à son syndicat régional (voir les coordonnées ici) accompagné du règlement de la cotisation. Une lettre T pré-affranchie figure parmi les documents envoyés par voie postale début 2024.

La saisie du bulletin d’adhésion peut également s’effectuer en ligne. Il est alors possible de payer directement par carte bancaire (en une ou plusieurs fois), ou par chèque ou virement bancaire – pour le règlement par chèque ou virement bancaire, un bulletin pré-rempli est généré, et les indications pour procéder au règlement de la cotisation sont communiquées par courriel.

Chaque adhérent·e est informé·e par courriel de l’enregistrement de sa cotisation. Pour changer d’affiliation régionale, contactez le syndicat régional auquel vous avez adhéré.

Quels sont les avantages des adhérent·es ?
Adhérer à un syndicat régional de la FNO permet de bénéficier de plusieurs avantages :
• Service juridique : avantages sur le montant des contrats et information juridique gratuite et accès exclusif à la permanence téléphonique (ouverte chaque lundi, mardi et vendredi de 9h30 à 12h30)
Magazine professionnel l’Orthophoniste : abonnement gratuit (10 numéros/an) et consultation en ligne sur FNO.fr
HappyPal – Nouveau : Adhésion à un comité d’entreprise incluse dans l’adhésion à la FNO.

Partenariat FNO x Perfactive : -2€ sur par mois sur le prix de votre abonnement et 250 SMS gratuits par an pour pouvoir activer des rappels pour les rendez-vous des patient·es.

• Ortho Édition : bon de réduction de 25% à valoir sur une commande

Périodique scientifique Rééducation Orthophonique : 23 euros de réduction sur l’abonnement
Petites annonces gratuites : sur fno.fr (toute l’année) et sur orthoedition.com (une fois par an, annonce publiée pendant 2 mois sur ce dernier site)
Service en assurance :

  • RCP : 0 € la première année de souscription
  • Assurance locaux : 6 mois remboursés pour tout nouveau contrat
  • 15 % de réduction sur votre contrat complémentaire santé  et 10% sur votre contrat prévoyance  la durée de vie du contrat

Attention, cette offre n’est valable qu’auprès de notre partenaire Assistance & Prévoyance.

•Caducée personnalisé
Formation continue : des avantages nombreux  sur les formations organisées par les syndicats régionaux membres de la FNO.

* Soit 0 € au lieu de 58 € . Attention, une contribution forfaitaire annuelle d’un montant de 15 € au fonds d’indemnisation des accidents médicaux (FAPDS) sera à acquitter. Le FAPDS est financé par une contribution forfaitaire annuelle, auxquels sont assujettis tous les professionnels de santé libéraux. Elle est collectée avec les cotisations aux contrats d’assurance RCP de ces professionnels, cette assurance étant obligatoire pour les professionnels de santé.

Comment justifier auprès de l’administration fiscale d’une cotisation ?
Avec le caducée personnalisé, vous recevez un justificatif de paiement.

Combien de temps est valable une adhésion ?
Chaque adhésion est valable pour une année civile : pour la campagne d’adhésion 2024, elle sera valable jusqu’au 31 décembre 2024.

Quel est le montant des cotisations ?
Pour ses adhésions, la FNO applique différentes cotisations, afin de prendre en compte une pluralité de situations :
La cotisation ordinaire (255 euros) est celle généralement appliquée pour adhérer à la FNO.
La cotisation de soutien est une cotisation d’un montant supérieur à celui de la cotisation ordinaire.
La cotisation « Prem’s » (30 euros) est à l’attention des orthophonistes diplômé·es  en France / ayant reçu leur autorisation d’exercice au cours de l’année 2024. Son montant est inférieur à celui de la cotisation ordinaire.
La cotisation « 1ère année d’adhésion professionnel·le » (128 euros) est à l’attention des orthophonistes qui n’ont jamais adhéré à la FNO. Son montant est inférieur à celui de la cotisation ordinaire. Les adhérent·es ayant bénéficié de la cotisation « Prem’s » en 2023 peuvent en bénéficier en 2024.
La cotisation « Arrêt momentané d’exercice » (128 euros) est à l’attention des orthophonistes qui ont arrêté leur exercice pendant une période supérieure à un semestre. Son montant est inférieur à celui de la cotisation ordinaire
La cotisation « Exercice salarié exclusif » (98 euros) est à l’attention des orthophonistes qui n’exercent qu’en salariat. Son montant est inférieur à celui de la cotisation ordinaire. Les orthophonistes en exercice mixte ne sont pas concerné·es par cette cotisation

• La cotisation « Cumul emploi-retraite » (98 euros) est à l’attention des orthophonistes retraité·es qui poursuivent ou reprennent leur activité professionnelle. Son montant est inférieur à celui de la cotisation ordinaire.
La cotisation « Retraité·e »  (60 euros) est à l’attention des orthophonistes retraité·es. Son montant est inférieur à celui de la cotisation ordinaire

Un·e orthophoniste diplômé·e en 2023 peut-il·elle adhérer à un syndicat régional de la FNO en 2024 au tarif « Prem’s » ?
Non, mais les orthophonistes diplômé·es en France / ayant reçu leur autorisation d’exercice en 2023 peuvent adhérer au tarif « 1ère année d’adhésion professionnel·le ».

Si vous ne trouvez pas de réponse à votre question, vous pouvez nous contacter au 01 40 35 63 75 ou par courriel à contact@fno.fr.
Pour toute difficulté d’ordre technique, le support informatique SharingCloud se tient également à votre service par courriel à support@sharingcloud.com.